J’ai rêvé d’un monde rempli d’enfants. La plupart d’entres-eux n’avait même pas dix ans. J’ai rêvé de ce monde où les parents décidaient de familiariser leurs jeunes pousses avec les langues étrangères et, plutôt que de s’en débarrasser pendant les vacances dans d’obscurs centres aérés, leur permettaient de se familiariser avec une langue étrangère.
Dans ce monde, les enfants se réunissaient tous les matins sous la surveillance de plusieurs professionnels d’obédience anglo-saxonne, et passaient ensemble des journées ludiques, mais néanmoins constructives, en appréhendant l’anglais sous couvert d’amusement.
Chansons, contes, sorties, jeux, travaux manuels, danses… Où comment apprendre l’Anglais sans s’en apercevoir.
J’ai rêvé de ce monde où les enfants s’enrichissaient des autres, les étrangers, découvraient de nouveaux horizons, de nouvelles cultures, de nouveaux prénoms simplement.
J’ai rêvé que ce monde ouvrait l’esprit des générations à venir, rapprochait les peuples, se donnait un sens, et par la même donnait un sens à l’amour…
Mais l’ai-je vraiment rêvé ce monde ? Ou simplement l’ai-je traversé au détour d’un chemin…
J’ai un rêve du monde…
Click to rate this post!
[Total: 0 Average: 0]